Pendant des années nous savions. Et pourtant, l'omniprésence de ce peuple étranger nous était chaque fois rappellée. Dans nos rêves, dans nos cauchemards. Ils étaient dépourvus de laran, mais nous savions qu'ils n'étaient pas inférieurs. Quelque chose en eux était hors de notre portée. Leurs mots étaient feu, leurs armes étaient flammes, leurs coeurs étaient des fournaises.